vendredi 30 septembre 2016

Cathédrale de Strasbourg en or


Ce matin, la cathédrale de Strasbourg se brillait en or et comme si elle était très belle, je l'ai prise en photo.
Le ciel de l'Alsace a de multiples expressions. 
Regarder le ciel en Alsace ne m’ennuie jamais.


mercredi 28 septembre 2016

Taretare de bœuf en paquet

La semaine dernière, j'ai raconté mon histoire de taretare de bœuf au restaurant.
Il y a quelques jours, j'ai trouvé des taretares de bœuf au supermarché.
J'en ai acheté par la curiosité.

Voici, c'est celui que j'ai acheté.
Il n'était pas surgelé.


Puis je l'ai ouvert.
Hmm, j'ai tout de même l'impression qu'il est un peu différent que celui de la photo d'image.
Honnêtement, l'apparence n'est pas très appétissante sur cet étape.
Il contient donc deux source, et un taretare de bœuf emballé sous vide.



J'ai dégagé la pellicule. 
La recette est très simple. On mélange de la source avec du bœuf et c'est tout.
Moi, je n'ai utilisé qu'un paquet de source.
Son apparence va ainsi mieux que l'étape précédent.



                              

Bien sûr, il n'est pas aussi savoureux que celui que j'ai mangé au restaurant.
Mais ce n'est pas du tout mal.
On peut y mettre un jaune d’œuf de préférence peut-être?

Le prix n'est pas cher
Lorsque l'on est avide de manger de la taretare de bœuf mais on est fauché, il sera un bon moyen alternatif.

Bon appétit.

                         



jeudi 22 septembre 2016

Taretare de bœuf au restaurant

Aujourd'hui, pour le déjeuner, je suis allé au restaurant.
Je suis timide et même au Japon, j'ai besoin de courage pour aller au restaurant que je n'y suis jamais allé auparavant.
C'est la même chose en France, voire ma timidité est pire mais il est quand même la chance de pourvoir séjourner dans ce pays pendant assez longtemps.
Alors, il faut profiter de cette occasion.

Je m'intéressais au ''taretare de bœuf'' puisque j'aime manger des choses crues (et étrange à mes yeux).
En plus, on dit que normalement les Européens ne mange pas de chose crue.
Jusqu'à ce que les gens confirme la sûreté des sushis, ils hésitaient à en manger.
Mais il y a des exceptions.
Ce sont les huîtres et la taretare de bœuf.
J'aime beaucoup les huîtres  néanmoins je n'ai jamais essayé de taretare de bœuf.

J'ai recherché des restaurants qui servaient cette cuisine sur internet.
J'en ai trouvé un qui en servait et qui était très bien réputé.
Le restaurant s'appelait ''au bon coin d'Alsace''.

Je me suis rendu au restaurant.
La porte était fermée.
Je ne voyais pas l'intérieur.
J'ai eu le courage d'ouvrir la porte et de dire bonjour.

Une femme souriante m'a accueilli.
Ensuite un homme sympathique m'a donné le menu.
J'étais rassuré.
Ce n'est pas un restaurant qui capture des japonais et en cuisine.
Le repas que je voulais commander était déjà décidé.

Je lui ai dit ''taretare de bœuf'' et ''tarte flambée''.
En fait je ne savais pas exactement ce que ''tarte flambée'' était.
Mais le monsieur m'a dit que ''tarte'' est grande.
Ce que j'imaginais était un petite tarte coupée comme un gâteau discret.

Donc cette fois, j'ai renoncé la tarte.

J'ai attendu environ 20 minutes.

''taretare de  bœuf'' dont je rêvais m'est arrivé.
''taretare de  bœuf'' était bien celle que j'imaginais dans ma tête.
Mais elle était accompagnée de pleines de pommes frites et une salade et quatre pièces de pains!



Avec plaisir j'ai entamé ma taretare steak.
Hm,,,le goût est très spécial.
Il est vraiment difficile de décrire ce goût.
C'est la saveur que j'ai rencontré pour la première fois dans ma vie.
La sensation dans la bouche ressemble aux sashimis du thon rouge.
On sens un peu de l'acidité de l'épice qui va bien avec de la pomme frite.
Lorsque j'avale une bouchée, de la viande laisse une saveur du .bœuf dans ma bouche.
J'aimais bien avoir un vin rouge.
Mais j'avais des cours l'après-midi.

La quantité était satisfaisante.
Lorsque j'ai fini mon repas, mon ventre était gonflé.

Je crois que j'ai trouvé un bon restaurant.
La prochaine fois, j'aimerais essayer une ''tarte flambée''.






mercredi 21 septembre 2016

L'hiver s'approche.



Il fait tout à coup froid depuis hier.
Hier, il pleuvait, c'est pour cela que la température a chuté d'une manière si brusque.
Mais en même temps, je ressens que l'hiver s'approche, l'air n'est plus même que celui de la semaine dernière.
Surtout le matin et le soir, il fait froid.

Cela me plaît.
Je ne supporte pas la chaleur.
J'aime le froid, la neige.

Je n'ai jamais vécu l'hiver à Strasbourg.
La ville sera couverte de neige?
Je ne sais pas.

Tout ce que je peux, c'est attendre.

dimanche 18 septembre 2016

Voyage en France (Paris-Strasbourg)

Le lendemain, je me suis levé tôt, vers 6h et demi.
À vrai dire, je voulais dormir un peu plus mais je voulais finir mon petit-déjeuner tôt.

Je suis descendu par l'ascenseur et j'ai salué le réceptionniste.
La salle du petit-déjeuner était petite mais cela lui donnait un côté intimiste.
Il n'y avait que moi.
J'ai pris une baguette, du fromage, des fruits, du jambon.
Une femme m'a demandé si je voulais boire un boisson tels un café au lait, un chocolat chaud, un espresso...
Je lui ai donc demandé un café au lait.
J'ai pris mon temps pour finir mon petit-déjeuner.

Je suis rentré dans ma chambre.
J'ai fait ma valise.
Je me suis reposé dans le lit en regardant la télé jusqu'au midi.

Vers le midi, j'ai quitté l'hôtel.
La gare de l'est était en face de l'hôtel.
J'y suis arrivé en 5 minutes.
Mais mon TGV partait à 13h30.
Donc j'avais encore beaucoup de temps.
J'ai dû attendre dans la salle d'attente et j'en ai profité pour lire  ''L'histoire de Strasbourg''.

Mon TGV est finalement arrivé, je suis monté dedans.
C'était la première fois que je prenais le TGV.
Je n'ai même jamais pris un shikansen(TGV japonais).
L'intérieur avait l'air confortable.
Mais ma place n'était pas à côté de la fenêtre.
Ma voisine était une femme avec des lunettes de soleil, elle était en train de manger des pâtes.
De temps en temps elle téléphonait à quelqu'un.
Peut-être son petit ami.
Un peu plus loin, un couple chinois (ou taïwanais ou hongkongais) bavardaient en chinois joyeusement.
Je pensais qu'ils étaient probablement un couple mais ''le garçon'' était efféminé.
Ils mangeaient du maïs en mettant leur ordinateur sur leurs genoux.

Le TGV était agréablement calme.
Il tremblait très peu.
L'ambiance était apaisante.
En tournant la tête vers ma voisine assise côté fenêtre, j'arrivais à voir les vastes champs de la France.
Au Japon, il n'y a pas beaucoup d'endroit que l'on peut voir l'horizon, à cause du trop grand nombre d'immeubles et de montagnes.

Les deux heures de trajet se sont passées très vite.
On est arrivé à Strasbourg.

J'avais l'intention de passer encore une nuit à l'hôtel car sur les instructions de ma résidence universitaire, il était conseillé d'éviter de venir le premier septembre car il y aurait trop de monde.
Pour cette raison, j'ai intentionnellement retardé ma date d'arrivée à la résidence.
Cet hôtel se situait près de la gare centrale.
Je ne me suis pas perdu.
Ma valise était lourde, le soleil me brûlait la peau.
Je voulais me reposer.

L'hôtel était chic.
Il y avait des antiquités.

Cette fois ma chambre était au premier étage.
Ma chambre était aussi jolie que les décorations de l'hôtel.
Néanmoins plus petite que celle de l'hôtel où j'avais passé une nuit à Paris.
Comme à l'hôtel le Marcel, il y avait un grand lit avec quatre oreillers, dans le coin gauche, il y avait une table.
Il faisait trop frais à cause du climatiseur.

Mais je n'ai pas eu le temps de me reposer.
Tout à coup, je me suis rendu compte qu'on était vendredi.
Cela signifiait que le lendemain ce serait samedi.
Samedi, le secrétariat de la résidence sera fermé et je ne pourrai pas retirer la clé de ma chambre universitaire.
Il était déjà 15 heures et demi.
Le secrétariat ferme à 17 heures selon les informations.

Je me suis dépêché de prendre le bus.
Comme je ne connaissais pas les lieux à Strasbourg, dans le bus, je ne me sentais pas bien et j'étais inquiet.
Vers 16 heures, je suis arrivé à une station qui devait être prêt de la résidence cependant je me suis perdu.
En plus, je n'avais ni internet ni carte.
J'ai dû marcher en suivant mon intuition.
L’inquiétude me dominait de plus en plus.
Si je n'arrivais pas à le trouver avant 17h, je serais forcé de chercher un hôtel bon marché qui me laisse passer deux nuits.
Je me disais que ce n'était pas grave. je perdrais juste inutilement de l'argent et c'est tout...

En marchant, j'ai trouvé des bâtiments qui ressemblaient aux celui que j'avais vu sur Internet.
Mon intuition était bonne, j'ai finalement trouvé ma résidence.
Elle était un peu éloignée de la station.
Aux alentours, il n'y avait rien.

Je me suis rendu au secrétariat et j'ai dit que je voulais retirer ma clé.
La dame de l'accueil m'a donné une clé et m'a dit de vérifier la chambre.
J'ai donc dû essayer de trouver la chambre, mais je n'y suis pas arrivé.
J'ai demandé à quelques habitants de la résidence s'ils ne savaient pas où se trouvait ma chambre, mais personne ne le savait.
Je suis retourné au secrétariat et j'ai dit à la dame qu'honnêtement que je n'avais pas réussi à la trouver.
En fait, elle avait oublié de me dire le code d'entrée.
J'avais envie de soupirer.
Si je n'avais pas de code d'entrée, il était normal que je n'arrivais pas à la trouver.
Cette histoire était vraiment ridicule.

Cette fois, grâce au code, j'ai pu vérifier ma chambre.
Lorsque je suis parti, j'ai dit à la dame d'accueil que je m'installerais le lendemain, elle était d'accord.
Ainsi j'ai pu avoir ma clé.

J'étais épuisé mais j'étais rassuré.
Avant de rentrer à l'hôtel, j'ai acheté du pain à la boulangerie.
J'ai dîné tranquillement à l'hôtel, puis je me suis endormi.

samedi 17 septembre 2016

L'aube de Strasbourg

04/09/2016  6h36 du matin











Voyage en France (CDG - PARIS)

Lorsque je suis descendu de l'avion, j'ai senti le parfum de la France.
L'odeur spécifique de l'Occident, de Paris, différente de celui de mon pays.
Cette odeur m'a réveillé tous mes souvenirs lorsque j'étais en France et que j'avais oublié depuis.
J'ai entendu des conversations en français, cela m'a excité puisque depuis longtemps j'étais avide de parler français.
Je voulais me retrouver dans un monde où personne ne parle ma langue maternelle.

J'étais au Japon, lorsque les attentats de Novembre et l'attentat de Nice ont eu lieu.
Mais à mes yeux, la France n'avait changée.
En entendant des annonces en français, j'ai eu envie de pleurer.

J'ai attendu longtemps(car il y avait beaucoup de monde) pour passer le contrôle d'entrée.
Un contrôleur a regardé mon passeport d'un air ennuyé comme s'il contemplait un insecte mort, puis il l'a tamponné et me l'a rendu.

 Avec d'autres passagers, j'ai attendu l'arrivée de ma lourde valise.
Il était environ dix-neuf heures trente, mais il faisait encore jour.
Oui, je me suis souvenu qu'en Europe, il fait noir assez tard contrairement au Japon.







Pour aller à Paris depuis l’aéroport CDG, RER est le moyen meilleur marché cependant comme ma valise était volumineuse et lourde, j'ai choisi de prendre un taxi.
À la station de taxis, une femme aidaient les voyageurs à prendre le taxi.
Lorsque mon tours est venu, elle m'a dit de prendre un taxi duquel est sorti un homme noir âgé portant une kippa blanche.
Je lui ai dit ''Bonsoir''
Il m'a dit ''Bonsoir''
Je  lui ai dit ''Pourriez-vous aller à l'hôtel le Marcel? si vous ne connaissez pas, déposez moi à la gare de l'est''
Je me suis amusé à regarder le vaste paysage français depuis mon taxi.
Mon sommeil et ma fatigue s'étaient complètement dissipés.

Après environ une heure, je suis arrivé à l'hôtel.
L'entrée de l'hôtel était cachée donc il m'a fallu un peu de temps pour la trouver.
À l'entrée, j'ai reconnu la silhouette d'une fille que je connaissais.
Elle venait d'y arriver pour me voir.
On ne s'était pas vu depuis longtemps mais on s'est reconnu très vite.
J'ai expliqué au réceptionniste qu'elle ne passerait pas une nuit à l'hôtel.
Ensuite, un homme qui parlait avec l'accent arabe nous a guidé.
Il était gai et sympathique.
Ma chambre se trouvait au 3ème étage.
L'hôtel lui-même était haut et étroit,cependant la chambre était assez jolie et assez spacieuse pour une seule personne.
Il y avait une salle de bain et une chambre avec un grand lit et quatre oreillers.
J'ai bavardé assez longtemps avec elle, en mangeant des gâteaux que j'ai apportés du Japon.
Vers 22h, elle est rentrée.
Je me suis retrouvé seul.
J'étais un peu triste.
La fatigue m'a pris soudainement.
J'ai pris une douche.
Après avoir contemplé longuement l'extérieur par la fenêtre(en face il y avait un autre appartement. Je voyais des pièces claires, je voyais distinctement des meubles, une table, une chaise, des étagères...mais il n'y avait personne),je me suis glissé dans le lit. 
Il fallait que je me lève tôt le lendemain pour prendre le petit-déjeuner et puis le TGV.








dimanche 11 septembre 2016

Voyage en France (SAPPORO - SEOUL - PARIS)

1.AVION


À cause d'un typhon qui passait sur l'Archipel nippon, mon vol a été annulé.
J'ai donc forcément dû partir le lendemain, un jour plus tard que la date prévue.
Je me suis réveillé très tôt, vers 4h et demi.
J'avais sommeil mais j'étais excité.

Je suis arrivé à l’aéroport en une heure, j'ai validé mon billet, j'y ai attendu une heure pour prendre l'avion. Comme je prenais ''Korean Air'' afin d'aller en France, j'ai dû faire escale à Seoul.
Lorsque je suis arrivé à l’aéroport Incheon, j'étais déjà fatigué.
Cette fatigue venait peut-être du manque de sommeil.
En plus j'avais légèrement mal à la tête.
J'y ai attendu également environ une heure.
Dans la salle d'attente, il y avait des passagers divers.
Des coréens, des chinois, des japonais, des indiens, des américains, des européens.

Je suis finalement monté dans l'avion.
Je pensais aux 11 heures que je passerai dans l'avion.
Il est effectivement pénible de devoir être enfermé dans un avion pendant une demi-journée,
La lumière artificielle et le ciel bleu clair déréglaient mon rythme.
Heureusement, je n'avais pas de voisin.
La place qui se trouvait à côté de moi n'était pas occupée.
Mais une coréenne avec de grosses lunettes était assise à côté de cette place vide.
Elle ne me dérangeait pas.
Elle était tranquille.
Elle passait la plupart du temps à dormir comme un chat blotti.
Elle était seule.

J'ai pensé à tuer le temps en regardant des films.
Mais je n'ai pas trouvé de film qui avait l'air intéressant.
J'ai enfin cédé et j'ai regardé deux films avant l'atterrissage.
Un était ''Battman vs Superman'', l'autre s'intitulait ''La vache''.

Les deux étaient banals.
Dans 5 ans, j’oublierai ces films que j'ai regardé lors de ce voyage en France.
Mais au moins ils n'étaient pas ennuyants.
Au moins c'était mieux que de perdre mon temps à fixer le vide.

J'ai consacré la plupart de mon temps à lire.
J'ai lu ''La carte et le territoire'' de Michel Houellebecq qu'une connaissance française m'avait emprunté au Japon.
Le livre était déjà usé.
Il m'a dit que si je l'abîmais ou je le perdais, il s'en ficherait.
Cependant, je lui ai promis de lui rendre lorsque je l'aurais fini.

Lui, il reste encore au Japon.
Mais moi je pars en France.




Voyage en France

1.AVION


À cause d'un typhon qui passait sur l'Archipel nippon, mon vol a été annulé.
J'ai donc forcément dû partir le lendemain, un jour plus tard que la date prévue.
Je me suis réveillé très tôt, vers 4h et demi.
J'avais sommeil mais j'étais excité.

Je suis arrivé à l’aéroport en une heure, j'ai validé mon billet, j'y ai attendu une heure pour prendre l'avion. Comme je prenais ''Korean Air'' afin d'aller en France, j'ai dû faire escale à Seoul.
Lorsque je suis arrivé à l’aéroport Incheon, j'étais déjà fatigué.
Cette fatigue venait peut-être du manque de sommeil.
En plus j'avais légèrement mal à la tête.
J'y ai attendu également environ une heure.
Dans la salle d'attente, il y avait des passagers divers.
Des coréens, des chinois, des japonais, des indiens, des américains, des européens.

Je suis finalement monté dans l'avion.
Je pensais aux 11 heures que je passerai dans l'avion.
Il est effectivement pénible de devoir être enfermé dans un avion pendant une demi-journée,
La lumière artificielle et le ciel bleu clair déréglaient mon rythme.
Heureusement, je n'avais pas de voisin.
La place qui se trouvait à côté de moi n'était pas occupée.
Mais une coréenne avec de grosses lunettes était assise à côté de cette place vide.
Elle ne me dérangeait pas.
Elle était tranquille.
Elle passait la plupart du temps à dormir comme un chat blotti.
Elle était seule.

J'ai pensé à tuer le temps en regardant des films.
Mais je n'ai pas trouvé de film qui avait l'air intéressant.
J'ai enfin cédé et j'ai regardé deux films avant l'atterrissage.
Un était ''Battman vs Superman'', l'autre s'intitulait ''La vache''.

Les deux étaient banals.
Dans 5 ans, j’oublierai ces films que j'ai regardé lors de ce voyage en France.
Mais au moins ils n'étaient pas ennuyants.
Au moins c'était mieux que de perdre mon temps à fixer le vide.

J'ai consacré la plupart de mon temps à lire.
J'ai lu ''La carte et le territoire'' de Michel Houellebecq qu'une connaissance française m'avait emprunté au Japon.
Le livre était déjà usé.
Il m'a dit que si je l'abîmais ou je le perdais, il s'en ficherait.
Cependant, je lui ai promis de lui rendre lorsque je l'aurais fini.

Lui, il reste encore au Japon.
Mais moi je pars en France.