Dans
la matinée, j’ai traduit une courte discussion entre mon patron et le directeur
de l’usine pendant trente minutes. Et c’était tout mon travail. J’ai passé
l’après-midi à lire « Les Démons » de Dostoïevski (j’ai l’impression de lire ce
livre depuis la nuit des temps, mais il ne reste que cinquante pages). Si tout
va bien, je serai peut-être à l’usine jeudi et vendredi, puis je rentrerai à
Strasbourg samedi (mais après je devrai aller au Qatar). On ne sait cependant
pas si tout se déroulera comme prévu, car mon patron a eu une succession de
contre-temps cette fois. J’imagine qu’il a pissé dans un sanctuaire au Japon de
sorte qu’il est maudit. C’est un travail facile mais j’ai la flemme. Je ne suis
pas apte à travailler. J’ai hâte de rentrer chez moi et d’être seul.
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