La
fin du semestre approche dans un bruit de pas néfastes. Comme j’ai fini tous
les livres dont la lecture est imposée (mais je ne dis pas que je les ai bien
compris), j’ai commencé à lire « Quand nous étions orphelins » de Kazuo
Ishiguro et « Les Démons » de Dostoïevski. J’avais acheté « Les Démons » à la
librairie Kléber pour lire pendant les longues vacances d’été, mais l’envie de
découvrir ce roman a emporté sur ma patience.
J'en suis encore au début, et comme tous les romans
longs de Dostoïevski, c’est un livre qui demande une certaine concentration de
la part du lecteur. Des tournures compliquées apparaissent souvent : certains
personnages font un long discours : les gens s’expriment de manière
hyperbolique. Ce n’est donc pas le genre de livre qu’on peut lire dans le bus
le matin ; il vaudrait peut-être mieux le lire seul, dans son lit, par une nuit
tranquille. Mais si vous voulez, vous pouvez le lire dans le bus le matin. Je
ne vous en empêcherai pas. En l’occurrence, vous me direz si vous avez pu
suivre le récit, hé, hé, hé !
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