mardi 3 avril 2018

Les démons


 La fin du semestre approche dans un bruit de pas néfastes. Comme j’ai fini tous les livres dont la lecture est imposée (mais je ne dis pas que je les ai bien compris), j’ai commencé à lire « Quand nous étions orphelins » de Kazuo Ishiguro et « Les Démons » de Dostoïevski. J’avais acheté « Les Démons » à la librairie Kléber pour lire pendant les longues vacances d’été, mais l’envie de découvrir ce roman a emporté sur ma patience.

 J'en suis encore au début, et comme tous les romans longs de Dostoïevski, c’est un livre qui demande une certaine concentration de la part du lecteur. Des tournures compliquées apparaissent souvent : certains personnages font un long discours : les gens s’expriment de manière hyperbolique. Ce n’est donc pas le genre de livre qu’on peut lire dans le bus le matin ; il vaudrait peut-être mieux le lire seul, dans son lit, par une nuit tranquille. Mais si vous voulez, vous pouvez le lire dans le bus le matin. Je ne vous en empêcherai pas. En l’occurrence, vous me direz si vous avez pu suivre le récit, hé, hé, hé !

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